Wenn schon Streiten, dann aber richtig!

MEDIATION Was ist das?

MEDIATION ist eine kommunikative METHODE zur Konfliktlösung

Rechtsanwältin Dipl. Mediatorin (FH), Birgit Blum-Stein

Ich bin gern für Sie da

Jeder Streitfall

ist ein Thema für die Mediation

Birgit Blum-Stein

Rechtsanwältin Dipl. Mediatorin (FH)

Principes de la Mediation

Préambule

Le désir croissant de régler les conflits familiaux – en particulier ceux entraînant le divorce ou la séparation – d`une manière individualisée et en respectant les intérêts de toutes les personnes impliquées conduit à se mettre a la recherche de méthodes appropriées. En cas de problèmes familiaux, la médiation offre une perspective en unissant les aspects sociaux, psychologiques et juridiques dans la réglementation des conflits. La BAFM s`est constituée à Bad Boll en Janvier 1992 à l`occasion d`un congrès ayant pour thème la médiation. L`organisation est un forum d`information et de coordination des cercles de travail organisés régionalement en République Fédérale d`Allemagne qui s`occupe de la pratique, de la formation continue, des publication, des relations publiques et du développement de la médiation familiale. La BAFM a décidé de publier ses principes directeurs qui résument l`état de la discussion entre les membres du groupe de travail concernant les bases et les procédés de médiation. Partant, ces lignes directeurs ne fixent pas un résultat déterminé mais vont faire l`objet d`amendements suivant le pas du développement. Le groupe de travail a jugé nécessaire de publier le résultat préliminaire afin de faire connaître les critères et les opinions représentés par les membres de la BAFM.

 

I. Personnes concernées

Les principes directeurs s`adressent, en général, aux membres des professions psychosociales et aux avocats s`occupant de conflits, crises et problèmes familiaux, notamment des conséquences de la séparation ou du divorce. Les principes fixés dans ces lignes directrices devraient être respectés dans les normes de la déontologie et du droit disciplinaire.

II. Objectifs, contenu et principes

1. Objectifs La médiation a pour mission de parvenir à une solution autodéterminée des problèmes psychosociaux es juridiques, notamment en cas de séparation ou de divorce, qui est choisie d`un commun accord par les deux partenaires. La médiation favorise l`autonomie et les capacités des partenaires de communiquer, de coopérer et de créer. Son but va d`un accord liant les partenaires par leurs simples volontés jusqu`à la conception d` une réglementation juridique formelle.

2. Contenu La médiation familiale s`applique au règlement de conflits familiaux dans des relations conjugales, non-conjugales et post-conjugales où les partenaires désirent une solution qui prenne en compte leurs intérêts. C`est les familles intéressées elles-mêmes qui déterminent le contenu du processus. Les médiations de séparation et de divorce s`occupent principalement des suites de la rupture, notamment des questions concernant la relation enfants – parents et autres relations familiales, le partage des revenus de la famille et des biens mobiliers et immobiliers, la protection en cas de vieillesse et des problèmes similaires.

3. Principes La médiation est guidée par les principes suivants :

(a) Libre volonté Le processus de médiation revêt un caractère volontaire et facultatif. Ce caractère facultatif présuppose que les partenaires ne soient pas limitées dans leur autodétermination et que le médiateur ne se voie pas imposé des instruction dans le cadre des limites fixées dans le contrat de médiation. Tous les partenaires, y inclus le médiateur, ont le droit de terminer le processus à tout moment.

(b) Neutralité La médiation présuppose une attitude neutre et impartiale du médiateur envers les deux partenaires. Le médiateur aide les partenaires à trouver une solution mutuellement satisfaisante qui prend compte de leurs intérêts tant par un processus que par un résultat équitables.

(c) Responsabilité Dans le processus de médiation, c`est les parties elles-mêmes qui prennent en charge leurs intérêts et besoins et qui représentent ceux-ci d`une manière appropriée.

(d) Information Une décision autodéterminée n`est possible que sur la base d`informations sérieuses et complètes. Chacun des partenaires, afin de prendre une décision en pleine connaissance de cause, doit avoir ample occasion de se rendre compte de toutes les informations décisives et de les évaluer. Cela présuppose une volonté mutuelle de dévoiler toutes les informations et documents décisifs. Notamment en cas de séparation et de divorce, chacun des partenaires doit se renseigner sur ses droits et obligations ainsi que, le cas échéant, réfléchir sur les suites légales de la rupture pour le sort des enfants mineurs.

(e) Confidentialité Le processus de médiation revêt un caractère confidentiel. Toutes les personnes impliquées s`engagent à ne divulguer aucune des informations gagnées en cours de la médiation sauf l`accord exprès de tous ceux qui ont participé au processus en question.

 

III. Conditions personnelles et tâches des participants dans un processus de médiation

1) Le médiateur En plus da sa mission décrite dans le paragraphe II 3 (b), le médiateur est responsable de la structuration du processus de médiation, du respect de ses principes ainsi que de la création d`un cadre approprié. Cela présuppose que la médiateur soit conscient des aspects psychologiques, dynamiques et juridiques et qu`il les prenne en compte conformément. Le médiateur est exclu d`agir comme tel en cas de liens familiaux, institutionnels ou sociaux avec l`un des partenaires atteignant une intensité à remettre son impartialité en question ainsi qu`en cas de propres intérêts privés dans la médiation. Il en va de même dans le cas où le médiateur a agi dans le rôle de conseiller ou représentant juridique ou de thérapeute pour l`un des partenaires. Au cas où une relation ainsi décrite liait le médiateur aux deux partenaires pareillement, le processus de médiation ne peut commencer qu`après que le rôle du médiateur ait été clairement distingué de la relation existant auparavant et que les deux parties aient donné leur accord exprès par rapport à la nouvelle fonction de la personne du médiateur. Le médiateur ne divulgue aucune des informations gagnées au cours de la médiation en cas d`une procédure judiciaire ultérieure. Il n`agit ni en tant que témoin ni en tant qu` avocat représentant l`un des partenaires ni en tant qu`expert. Il fait mention expresse aux parties de ces limitations.

2) Les partenaires Il est nécessaire que les partenaires maintiennent un minimum de dialogue, qu`ils soient disposés de parvenir à un accord et qu`ils possèdent la faculté de se représenter eux-mêmes ainsi que d`affirmer leurs intérêts. Des maladies psychiques graves ou la violence domestique, par exemple, constituent des limites possibles pour la médiation. Aussi, il se peut qu`une impossibilité de parvenir à un accord se révèle au cours de la médiation. Dans ces cas, le médiateur renvoie les parties à des experts appropriés.

3) Enfants et adolescents Dans un processus de médiation, une importance particulière est attribuée aux besoins des enfants et des adolescents impliqués. Le médiateur prend soin que les enfants soient protégés autant que possible. Il existe de multiples formes de faire assister - ou participer - des mineurs au processus de médiation. Selon leurs âges, ils devraient avoir la possibilité de jouer un rôle actif pendant la médiation. Cependant, la décision finale doit être prise par les parents. Pour les enfants et les adolescents, il est essentiel que leurs parents fassent montre d`un comportement coopératif, qu`ils le contrôlent constamment et qu`ils le développent au cours du processus.

IV. Relevance du droit, de la psychologie et des sciences sociales dans la médiation

1) La relevance du droit Dans la mesure où le processus de médiation a pour but de parvenir à un accord juridiquement obligatoire, comme c`est le cas pour les médiations de divorce et de séparation, la connaissance du droit est une condition incontournable. De surcroît, étant donné que les normes légales en question sont pour la plupart dispositives, le juriste va aider les parties à faconner le droit selon leurs intérêts et besoins spécifiques dans un accord qui satisfait les deux partenaires pareillement. Le droit sert avant tout - comme outil d`activation des intérêts particuliers de chacun ; - comme outil de contrôle d`équité et de loyauté ; - comme cadre définissant les limites légales de l`accord ; - à faire valoir toutes les possibilités juridiques à l`avantage de chacun des membres de la famille ; - à faconner un accord se distinguant par des usages differencié et adapté des instituts juridiques et des réglementations contractuelles usuelles.

2) Relevance de la psychologie et des sciences sociales L`exercice de la médiation présuppose que la dynamique familiale ainsi que celle de la séparation soient percues et prises en compte et que le médiateur dispose de connaissances solides sur les aspects psychologiques et sociaux de conflits. Par ailleurs, afin de gérer les communication et négociation d`une manière appropriée, il est indispensable de connaître les mécanismes et les méthodes de la psychologie et des sciences sociaux. Ces connaissances fondamentales constituent une base qui met le médiateur à même de juger d`une manière responsable des possibilités et limites de la médiation et de remplir son rôle dans un processus souvent difficile. Les connaissances et méthodes ainsi décrites devront, avant tout, être mises au service du bien-être psycho-social des enfants et adolescents.

V. Synergie des disciplines dans la médiation Afin de rendre possible une synergie entre les différentes disciplines, les connaissances des compétences et des limites des professions respectives ainsi que celle des indications et possibilités de renvoi sont indispensables.

1) L`avocat-conseil Au cas où l`activité de donner du conseil juridique excède les attributions légales du médiateur, les partenaires doivent se servir d`un avocat autorisé en temps utile. Même le médiateur-avocat fait en sorte que le contrat ne prenne force de loi qu`après que les partenaires aient consulté un avocat compétent. La consultation doit prendre en compte les spécificités du processus de médiation. Contrairement à l`avocat-médiateur, il est loisible à l`avocat-conseil de représenter son client comme avocat, par exemple dans une procédure de divorce.

2) Les conseillers psycho-sociaux Au cas où des problèmes psychologiques entravent sérieusement le déroulement de la médiation, le médiateur recommande de chercher de l`aide psychologique supplémentaire. Il en fait de même dans des constellations complexes impliquant des mineurs. Le conseiller psycho-social ne peut pas agir comme expert dans une procédure juridique.

3) Coopération dans un réseau professionnel Le médiateur fait partie d`un réseau professionnel et promeut, surtout dans sa région, la coopération entre les professions impliquées. En faisant cela, il prend soin de ne violer ni le principe de confidentialité ni la loi sur l`informatique.

VI. Forme, déroulement et conditions de la médiation Au début du processus de médiation, le médiateur explique les différences et les similitudes entre la médiation et d`autres formes de règlement de conflit; il signale les avantages et les inconvénients, le potentiel et les risques de la médiation et des alternatives correspondantes. Il renseigne sur le déroulement, le coût ainsi que les conditions indispensables à la médiation telles qu`elles ressortent des lignes directrices. Les bases de la médiation à venir dont les partenaires ont convenu (contrat de médiation) devraient être fixées par écrit. Le médiateur soutient les partenaires dans leurs efforts mutuels de mieux comprendre l`autre, ainsi que soi même, par rapport aux points de vues, besoins et intérêts individuels et divergents. Il/elle aide les partenaires par son intermédiation à trouver une solution amiable et équitable. Constituent, par exemple, des points de référence : - la recherche d`intérêts concrets personnels, professionnels et économiques pour l`avenir, - l`histoire de la relation du couple, - les normes légales resp. les principes conducteurs - ainsi que les accords précédents. Une importance particulière revient dans ce contexte à l`acceptation mutuelle des intérêts et perspectives divergents des personnes impliquées, en particulier des enfants. Ces intérêts et perspectives doivent être mis en rapport et respectés convenablement. En règle générale, le résultat de la médiation est fixé par écrit. A la demande des partenaires, cet écrit peut être transformé en contrat juridiquement obligatoire par le médiateur-avocat, l`avocat-conseil ou une administration juridique publique compétente. Etant donnés le rapport étroit et les implications juridiques et factuelles entre les différentes parties de la réglementation, il est indispensable de scruter chaque résultat intermédiaire sous l`angle de ses répercussions sur le reste de l`accord. Au cas où les partenaires sont parvenus à une réglementation partielle ou bien qu`un accord amiable se révèle impossible, le médiateur discute avec les partenaires les possibles manières des poursuivre la médiation.

VII. Qualifications Eu égard à l`approche holistique du processus de médiation, le travail du médiateur présuppose des connaissances et facultés profondes en matière de psychologie de la famille ainsi que des connaissances de base en droit de la famille. De plus, le médiateur doit posséder la technique de la négociation basée sur les intérêts qui constitue le fondement du processus de médiation. La qualification en tant que médiateur doit être acquise par une formation spécialisée supplémentaire. La BAFM a fixé ses conditions de qualifications dans ses critères de formation. Afin de suivre la formation du BAFM, les participants doivent disposer, en général, d`une formation juridique accomplie ou d`une formation en matière psycho-sociale et faire preuve d`expérience pratique dans un de ces domaines. Eu égard à l`investissement personnel du médiateur, et notamment à sa neutralité, le travail implique la supervision et des efforts de perfectionnement permanents.

Guidelines for mediation in familiy conflicts

A. GUIDELINES OF THE BAFM FOR MEDIATION IN FAMILY CONFLICTS.

Foreword:
The increasing wish, to settle family conflicts personally and in the interest of all those concerned, especially in the case of separation and divorce, means that suitable methods must be sought for. One approach is mediation (bringing together) in family matters, which combines psycho-social and legal aspects of the settlement of the conflict with one another.

The BAFM has decided to issue guidelines which summarise the status of the discussions of the members of the association on the principles and methods of approach of mediation. The guidelines are designed to be developed. The association found, however, that the publication of the current state of development is necessary, in order to give an insight into which standards and views the members of the BAFM represent.

I. Addressees:
The guidelines are primarily aimed at members of the psycho-social professions and at solicitors, who are involved with family conflicts, crises and problems and in particular with the consequences of separation and divorce. The principles set down in the guidelines be considered in the services and professional regulations and codes of practice.

II. Aims, Content and Principles:
1. Aims
Family mediation has the task of achieving a self-determinant and unanimous settlement of psychosocial and legal problems, particularly in the case of separation and divorce. It promotes autonomy, especially the ability of those involved to take part in dialogue, show co-operation and adapt.

The aim is a unanimous, binding settlement up to an extensive, effective agreement within the letter of the law.

2. Contents
Family mediation concerns the settlement of family conflicts in marital, extramarital and post-marital relationships, for which impartial solutions are sought. The content is determined by the families involved. Separation and divorce mediation primarily concerns itself with the arrangement of the consequences arising from separation and divorce, in particular with respect to parenthood and other family relationships, apportionment of the family income, disputes about wealth, provisions for old age, division of the domestic property and clarification of the accommodation arrangements.

3. Principles
Mediation is a process, which orientates itself on the following fundamental principles:

(1) Voluntariness.
The mediation process is voluntary. Voluntariness sets the precondition, that the partners are not limited in their self determination and that the mediator is not subjected to any instructions by the boundaries set down by the contents of the mediation contract. The process can be stopped at any time by any of the participants, including the mediator.

(2) Neutrality.
Mediation requires that the mediator has a neutral, all-party attitude to both partners. The mediator supports the partners in reaching an agreement which is fair in its result, mutually satisfying, fair to all interested parties and is achieved through a fair process.

(3) Self responsibility.
The partners safeguard their own interests and needs in the mediation process and safeguard them reasonably.

(4) Informedness
A self-determinant decision by the partners is only possible on the basis of their own factual informedness. Each partner must have sufficient opportunity to recognise and to weigh-up the significance of all information which is important for decision making, so that each is fully aware of the consequences of the decision.

This requires that both partners are prepared to disclose all of the essential data and relevant facts.

Especially in the case of separation and divorce, each partner each partner must inform themselves of their legal rights and obligations and, in as far as under aged children are affected, must consider the effects of the decision on the children.

(5) Confidentiality.
The mediation process is confidential. All participants commit themselves, within the scope of the legal possibilities, not to pass on any information and knowledge received during the process, without the express agreement of all of the participants. The agreement is presumed given in the case of consultation of solicitors and experts within the framework of the mediation process and in the case of supervision.

III. Personal Conditions and Duties of the Participants in the Mediation process.
1. Mediator.
In addition to the duties described in section II 3 (2), the mediator is also responsible for the design (structuring) of the mediation process, the observance of the principals as well as the creation of suitable framework conditions. This requires knowledge and consideration of psychological, family dynamic and legal aspects.

If the mediator is so closely tied to one of the sides, due to a family, institutional or other form of social relationship, that the side could question their impartiality, or if the mediator could pursue a private interest in the mediation, then he/she is unsuited as a mediator. The same is true, if the mediator has previously given one of the partners legal advice, or has represented them, or has stood in a therapeutic relationship to one of the partners. If the advice, representation or therapy related to both partners, the mediation process may only commence, if the role of the mediator is clarified with respect to the previous situation and if all participants have unanimously and specifically chosen mediation.

The mediator shall not pass on any information in the judiciary process. He / She shall not make themselves available as a witness, representative of a solicitor or consultant expert. They must inform the participants of this fact.

2. Partners.
The partners require a minimum of willingness to discuss and reach agreement, as well as the ability of to stand up for themselves and their own interests.

Possible limits to the mediation can e.g. lie in severe psychic disorders or family violence. Furthermore, it can be, that during the process of the mediation it becomes obvious that an independent, joint settlement is not possible. In these cases, the mediator refers the partners to appropriate specialists.

3. Children and juveniles.
The interests and needs of children and juveniles have a special importance in the mediation process.

The mediator is responsible for ensuring that children are protected as far as is possible. There are different forms of the presence and personal participation of children and juveniles in the mediation process.

Depending upon their age, they should be given the opportunity of participating in the process. However, the responsibility for the decision remains with the parents.

It is important for the children and juveniles, that their parents practice, examine and further develop co-operative modes of behaviour during the mediation.

IV. The Importance of the Law, Psychology and the Social Sciences in the Mediation.
1. The importance of the law.
In as far as the mediation process, as is the case with separation and divorce mediation, aims for a legally binding agreement, knowledge of the law is an imperative prerequisite.. Furthermore, the partners can use the primarily optional law legislatively, in order to be able to find fair agreements on their specific interests and needs.

Law particularly serves:
- The activation of the individual interests
- The control of fairness
- The determination of the permissible limits to the agreement
- In exhausting the legal possibilities to the advantage of all of the family members
- In designing the agreement through a differentiated utilisation of the legal forms and typical contractual agreements.

2. Importance of psychology and of the social sciences.
The practice of mediation requires the observation and consideration of separation and family dynamic processes, as well as a solid basic knowledge of the social and psychic conditions of conflict situations.

In addition, knowledge of the psychological and social sciences approaches, methods and mechanisms, are prerequisites for a properly guided discussion and negotiation.

This fundamental knowledge is the basis for the responsible evaluation of the possibilities and limits of mediation, the reflected handling of the role, as well as ones own behaviour as a mediator.

The psychological and social sciences knowledge, abilities and proficiencies should especially be used too, for the promotion of the psychic, social and health welfare of the children and juveniles.

V. The Concurrence of the Disciplines in the Mediation process.
Knowledge of, and information about, the respective professional competencies and their limitations, as well as the indications and referral possibilities are prerequisites for a useful concurrence of the disciplines.

1. The advisory solicitor
If, under the legal advice law, the mediator is not authorised to give legal advice themselves, then the advice is to be given by the solicitors of the parties in due time. Even solicitor-mediators work under the premise, that the agreement is only binding after the parties have been legally advised. The advice should be aimed at the logic of the mediation process.

The advising solicitor of a party, contrary to the solicitor-mediator, not forbidden to represent their party at the bar, for example in subsequent divorce proceedings.

2. Psycho-social advisor
In the case of psychic problems which significantly hinder the mediation process, the mediator recommends additional psychological help. This is also true in the case of complicated constellations with children and juveniles.

The psycho-social advisor is not available as an expert consultant in judicial proceedings.

3. Working together in a professional network.
The mediator belongs to a network and promotes the interaction between the participating professions in their region. Care must be taken here, that in individual cases, the principles of data protection and confidentiality remain guaranteed.

VI. Form, Procedure and Prerequisites of Mediation.
At the beginning of the mediation process, the mediator explains the differences and similarities between mediation and other forms of conflict settlement, he/she informs about the advantages and disadvantages of mediation and the appropriate alternatives, as well as the opportunities and risks. The mediator explains the den procedure, the costs and the indispensible prerequisites of mediation as arise from the guidelines. The principles for the subsequent mediation process produced together with the participants ( mediation contract ) should be recorded in writing.

The mediator supports the parties, on the basis of their different viewpoints, in understanding better their own needs and interests and those of the other partner.

He/ She helps the partners to develop a mutually fair settlement by their mediation of the discussions and negotiations.

Reference points and exemplary methods.
- concrete, personal, professional and economic interests in the future
- elements of history of relationships
- the legal provisions, or rather the principles on which they are based
- as well as prior agreements.

Special importance is given to the mutual acceptance of different interests and perspectives of life of the participants and of the children, which are then linked together relative to each other and under each other.

The result of the mediation is usually recorded in writing. At the request of the partners, a juridicially founded agreement can be put together by the solicitor-mediator, the advisory solicitor or public legal, information and arbitrary bodies.

Due to the close actual and legal linkage, care is to be taken, that each partial result is checked with respect to its consequences for all other settlement areas. If an agreement between the parties is only reached for a partial area, or an agreement is not at all possible, then the mediator discusses the further procedures with the partners.

Mediation Was ist das?

Konflikte sind alltäglich. Sie können dann zu einem Problem für die Beteiligten werden, wenn diese keine Möglichkeit mehr sehen, ihren Streit zu beenden.
Konflikte haben die Tendenz, ein Eigenleben zu entwickeln. Eine Verständigung wird immer schwieriger, am Ende sogar unmöglich. Dabei ist der eigentliche Streitpunkt, um den es am Anfang ging aus dem Blickfeld geraten.

MEDIATION ist eine kommunikative METHODE zur Konfliktlösung, deren tragende Prinzipien für alle Lebensbereiche angewandt werden können.
Wörtlich übersetzt bedeutet MEDIATION „Vermittlung“. Vermittelt wird dabei in Konflikten durch unparteiische Dritte, die von den Konfliktparteien beauftragt werden. Mediatoren sind neutral und allparteilich, sie treffen weder Urteile noch Schiedssprüche. Durch die strukturierte Art der Gesprächsführung werden die Konfliktparteien in ihrer Fähigkeit unterstützt, eigene Lösungen für ihre Sache zu finden.

MEDIATION
setzt auf Gemeinsamkeit statt Gegnerschaft, auf Verstehen statt Missverstehen, auf zukunftsbezogene Sachlichkeit statt auf rückwärts gerichtete Beschuldigungen, auf gemeinsame Beziehungsklärung statt auf Rechthaben, auf Eigenverantwortlichkeit statt auf Fremdentscheidung.
MEDIATION hat viele Vorteile. Sie ist

- sachorientiert
- maßgeschneidert für den Einzelfall
- kreativ bei der Lösungssuche
- respektfördernd für die Betroffenen
- lösungsorientiert
- kostensparend
- zukunftsgerichtet
- unterstützend bei der gegenseitigen Verständigung
- fair bei der Erarbeitung einer Lösung
- zeitnah, weil sofort einsetzbar
- befriedend
- freiwillig für die Betroffenen
- verbindlich im Hinblick auf das gemeinsam erarbeitete Ergebnis
- dauerhaft bezüglich einer getroffenen Vereinbarung

und für viele Anwendungsgebiete geeignet:

MEDIATION bedeutet Konfliktlösung durch Kommunikation:

· Sie spart Zeit und schont die Nerven

· Sie befriedet die Parteien

· Sie schafft zukunftsgerichtete Lösungen

· Sie bietet ein überzeugendes Preis - Leistungsverhältnis

WOLLEN SIE MEHR WISSEN?
Einfach für sich selbst? Oder stecken Sie und Ihre Familie mitten in einem Konflikt, den Sie möglichst bald aus der Welt schaffen möchten?
Nutzen Sie die MEDIATION als Chance! Rufen Sie an und fragen Sie nach!

"Es ist ganz wahr, ……., dass das Leben rückwärts verstanden werden muss. Aber darüber vergisst man den andern Satz, dass vorwärts gelebt werden muss.“ (Sören Kierkegaard)

GUIDELINES FOR MEDIATION

PRINCIPES DE LA MEDIATION

mediation blum stein

Mediation

Was ist das?

mehr erfahren

profil

Profil

Birgit Blum-Stein
Rechtsanwältin und Dipl.-Mediatorin (FH)
Coach

mehr erfahren

saftoderschale

Saft oder Schale?

Was hat eine Orange mit Mediation zu tun?

mehr erfahren

mediation

Recht

Neben der Mediation gibt es andere, bereits bekannte Formen der Konfliktbewerkstelligung.

mehr erfahren

Haben Sie Fragen?

Dann freue ich mich sehr, wenn Sie mit mir in Kontakt treten.

Sie erreichen mich in meinem Büro telefonisch oder per E-Mail.